Anthey Milard | Sand's Child

NOM : Milard

PRÉNOM :Anthey

ÂGE :19

SEXE :Masculin

NATIONALITÉ : Anglais

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TRAITS DE CARACTÈRE : ( 6 lignes minimum )

DESCRIPTION PHYSIQUE : ( 6 lignes minimum )

STYLE VESTIMENTAIRE : ( 6 lignes minimum )

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GOÛTS CULINAIRES : ( 2 lignes minimum )

GOÛTS LITTÉRAIRES : ( 2 lignes minimum )

GOÛTS MUSICAUX : ( 2 lignes minimum )

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LOISIRS :

PHOBIES :

PROJET(S) ? :

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CÉLÉBRITÉ CHOISIE :Milo Ventimiglia

NOM : Stilgard

SURNOM :

ÂGE :19 ans, elle est né le même jour que moi, et a moins d'une faille spaco-temporel, elle aurait toujours le même âge que moi.

SEXE : Femelle

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ESPÈCE ( ET/OU RACE ) : Corbeau, bien que lorsqu'elle était jeune elle prenait souvent la forme de furet ou de jeune félins.

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TRAITS DE CARACTÈRE : ( 10 adjectifs minimum )

DESCRIPTION PHYSIQUE : ( 6 lignes minimum )

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GOÛTS :

PHOBIES :

PASSÉ : Qui suis-je ? Je ne le sais pas. Le passé laisse ses marques dans le présent. Oui, ca doit être ca, le passé, c’est lui qui m’a forgé. Anthey Milard, mes parents m’on appelé comme ca. Milard, ce nom est le seul lien que j’ai avec lui, mon père. Il est mort. Il y treize ans… oui, treize ans déjà, c’étais un dimanche, je m’en souviens car le lendemain j’avais école et je ne voulais pas y aller. Mon père partait souvent une semaine voir plus. Il devait rentrer le soir, avec son grand sourire, ses bras accueillants et ses petits cadeaux qu’il ramenait de ses voyages. La dernière fois qu’il est revenu, il m’a donné un magnifique pendentif, d’Afrique je pense, il luisait d’une belle lueur doré, ses fils d’or entrecroisés était le travail d’un fin orfèvre. Je ne m’en souviens plus, je l’ai donné il y a trois ans. C’étais donc le matin, ma mère alla cherché le courrier, il y avait une lettre bizarre, faite dans un papier jauni et écrit a l’encre noire, un mauvais pressentiment, je l’avais senti, peut être car ma mère était plus énervé ses temps ci, elle s’énervait pour un rien, puis aller s’enfermer dans sa chambre ou quelques pleurs passé sous le seuil de la porte. Stilgard c’est transformé en furet, un petit animal joyeux, qui aime jouer et qui mordille gentiment, avec des petites billes noir luisantes à la place des yeux. Elle est sur l’épaule de ma mère pour lire la lettre, mais elle l’a chassé directement, puis a brulé la lettre après l’avoir lu. Elle m’a regardé durement, puis a dit d’une voix que je n’avais jamais entendue :
-On part, on n’a plus rien à faire ici, va prendre tes objets auquel tu tiens, tu ne reviendras jamais ici.
J’ai alors compris que la lettre disait que mon père était mort, je ne sais pas pourquoi, ni comment. Je tremblais, d’un mélange étrange entre la peur et la colère, contre ma mère que je détestais.

Elle avait le caractère froid, ses traits anguleux, la voix grave, ce n’était pas une personne attachante. Je ne sais pas pourquoi mon père était avec elle, surtout que je n’ai pas de souvenir de moment où seulement eux deux, sans moi, était vraiment heureux. Ils parlaient néanmoins très longtemps le soir. J’ai essayé d’écouter une ou deux fois, mais le sens des mots m’échapper. Des mots étranges, avec une consonance d’une langue perdue. Puis au final, ca m’ennuyer, je préférais jouer avec Stilgard, on jouait a cache-cache dans la grande maison familial. Dès fois elle ce transformé en gros félin, mais jamais adulte, de gros chatons aux pattes affectueuse. On jouait a ce mordiller, a ce battre gentiment sans jamais ce faire mal, c’est extraordinaire. Après une après-midi à jouer, on finissait généralement par dormir ensemble dans mon grand, enfin grand pour un enfant de six ans, blottit l’un contre l’autre. Mon père m’avait dit qu’elle n’avait jamais le droit de ce transformé en public, et elle pouvait sortir seulement sous la forme du furet. Je n’avais pas compris que j’étais spécial sur bien des points…

Ce jour là, je suis donc monté prendre le collier de papa, j’y tenais énormément, je le prenais souvent dans mes mains, le soir et les yeux fermé, j’imaginais mon père, dans son habit d’aventurier, en train de parcourir le monde. Je pensais souvent à lui, il était régulièrement absent et on ne pouvait pas jouer souvent ensemble, mais malgré cela, il reste dans mes souvenirs un homme grand et fort, un explorateur au regard brumeux et mystérieux, les mêmes yeux que moi, et avec une grand sourire, il me prenait dans ses bras et me lancé en l’air, on s’amusait tout le temps, il avait su garder son âme d’enfant. Je n’ai rien pris d’autre, les autres objets n’ayant pas de signification pour moi, juste des jouets. Le temps c’étais assombris lorsque j’étais redescendu avec Stilgard sur les épaules. Voiture, direction l’aéroport, puis l’avion, et pas un mot durant tout le voyage. Mes souvenirs sont brumeux, juste ce regard noir que ma mère m’a jeter avec de me quitter, et cette phrase, gravé au couteau dans mon cœur. « Je serais plus sereine sans toi, enfin libre…»


Tout s’accélère, changement total de monde, du jour je passe à la nuit. Tout d’abord, tout le monde parle arabe, on ne m’appelle plus Anthey, mais Al Abyad, celui a la peau blanche, bien que la traduction qui convienne le plus soit, le blanc. Les mois passent, on s’habitue, on n’a pas le choix, la langue est apprise en plusieurs mois, en un an je suis entièrement accoutumé. D’ailleurs, où je suis ? Une fois on m’a montré la carte, ils ont pointé leurs doigts vers le Soudan. Ils, ceux qui dirigent l’endroit où je vis, un clan, peut être un orphelinat ou un camp, je ne sais pas, je n’ai jamais su. De ce passage sombre de ma vie, je ne dirais plus que deux mots : souffrance et solitude.

Cinq ans plus tard, un jour sans pluie si caractéristique de ce pays, j’arrive à m’enfuir, je dois avouer que personne ne m’a jamais empêché de sortir, sans argent, au milieu de nulle part, et étant un enfant, où j’aurais pu aller ? Sans Stilgard, je serais probablement mort. En premier lieu, nous avons remonté le Nil, le seul point d’eau douce a porté. Survivant par de petits lézards que chassait Stilgard, qui ne mangeait presque pas, elle était sous forme de serpent, enrouler autour de mon cou. La marche était dur, sans chaussure sur le sable brulant, nous ne pouvions marchez que a partir du crépuscule jusqu'à l’aube. Je ne voyais plus le Nil comme un simple fleuve, c’étais pour moi un fil reluisant d’espoir, la liberté qu’on m’avait volé. La nuit lorsque j’étais trop fatigué, je m’arrêtais, et nous regardions les étoiles dans le ciel sans nuage du désert. Rarement, on pouvait apercevoir, au loin un campement de nomade, un grand feu avec des tentes autour, ou en plein jour des caravanes de dromadaires. Finalement, après trois semaines, peut être un mois, qui m’avait semblé durer une éternité, ou j’étais libre de tout, nous sommes arrivés dans un petit village sur le bord du Nil, en Egypte, mais cela je ne l’ai appris que longtemps après…

Vous savez, certaine choses sont importante, on s’en rend compte quand nous n’avons plus que cela. Des choses qui nous permettent de survivre, lorsque que l’on en ai démuni, tout perd son sens… Je survécus grâce à Stilgard, elle n’était pas la avec moi, elle était moi, sans elle je ne suis plus rien. C’est une parti de moi, je ne peux pas être sans elle, elle me réconforte, je l’a réconforte. Mon pendentif m’a permit de ne pas me perdre, de ne pas perdre mon passé, j’aurais bien pu tout oublier, j’étais jeune, encore. Un vieux souvenir, un sentiment, une odeur, tout cela n’en ai rien perdu. Merci papa. Le dessin. Un carnet à moitié déchirer et un crayon de bois, usé par le temps, gonflé par l’humidité que j’avais réussi à voler ou a prendre, personne ne s’en soucier de toute façon. J’ai trouvé ici une porte magnifique, un moyen de voler vers le monde des rêves, celui de l’imagination ou la raison et la logique n’a plus de place. Lorsque le crayon gratter le papier, je perdais mes peines, d’accord au début, cela ne ressemblait a rien, des gribouillis informes, mais avec le temps, les dessins devenaient de plus en plus beau, ils devenaient l’exacte image figé de mon imagination. Comme la photo permet de figer un instant pour l’éternité, mais reste limité à un temps, sans mouvement, le dessin fige les mondes du rêve, sans en saisir l’intégralité. Tout cela m’a permit de tenir, de ne pas me perdre, ces souvenirs qui font partis de moi.

Arriver au village donc, je me suis installé dans la place du village, contre un mur ombragé, les rares passants me regardaient d’un regard intrigué, mais sans répulsion ou quelconque haine que l’on peut ressentir en occident. Observant, je suis resté une journée entière, sans bouger, avec Stilgard sur mes genoux. Je me reposais, et en même temps, je m’imprégnais du lieu, de ses odeurs, les sensations associées au lieu, unique. Un droite, a cinquante mètres, quelqu’un cuisine avec des épices, cette odeurs, qui ne m’a plus quitté de ma jeunesse je ne l’oublierais jamais. A droite, un atelier, avec des bruits de métal, des moments calmes, sinon, a en juger les traces sur le sol, ce devait être la place d’un marché. J’étais bien, je me sentais chez moi, depuis cinq ans, enfin… Le lendemain nous sommes allé à l’atelier, le propriétaire avait l’air surpris par un enfant a la peau blanche parlant arabe, tout seul. Il ne m’a pas posé de questions, et m’a dit d’un ton neutre :
-Tu veux avoir de l’argent ? Travaille et tu auras à manger, mais sache que le travaille et dur, je ne serais pas attendri car tu es jeune.

Le lendemain, il me donna de l’osier, et me quémanda de faire un tissage simple, une sorte de panier sans anse. Vous savez, des fois on trouve des paniers fait main, des dessous de plats, ou ce genre d’objets, que les marchands vendent trois fois rien. C’est ici qu’on les fabrique. Le même travail, jour après jour, le geste s’affine, s’accélère, ce complexifie. J’ai a mangé, je dors dans la vielle étable, je suppose qu’avant c’étais un ferme. Pendant mes heures libres je traine, dans les villages et les alentours. Je reprends mes repères, les dates. Le mardi toutes les deux semaines, marché. C’est un grand marché, où il y a un brouhaha permanent, une odeur d’épice qui flotte dans l’air, mélangé à du poisson. Le village vie principalement de la pêche, et du commerce avec une grande ville situé au nord. Dans un stand, je vends des ustensiles que j’ai crée, et d’autres babioles fait dans l’atelier. Souvent à des particuliers, à des touristes qui passe et veulent un souvenir ou un cadeau à offrir. Il ne me regarde même plus, j’ai bronzé, et sous mes habits personne prend le temps d’observer attentivement un enfant qui s’occupe de vendre des objets. Moi je les observe, tous. Je vois leurs vies, inutiles, ils ne sentent pas ce monde, la misère. Pour eux ce n’est qu’un petit village où tu vas bien, avec des habitants bien agréables, mais rien de plus, ils s’en foutent totalement. Des fois, des commerciaux occidental arrivent, et achète a petit prix le maximum d’objet dans les villages, qu’ils vendrons a prix d’or là bas, notre misère fait leurs richesses, voici le monde actuel, mais on est obligé d’accepté, car ca nous rapporte quand même de quoi manger.

Quatre année s’écoulent ainsi, calme et paisible, entre le travail, les ballades avec Stilgard, il n’y a pas d’enfant de mon âge ici, et le dessin. Ca me plait, je suis intégré, et tout ce passe bien, sans embrouille. Plus les années passent, plus je grandis. Un beau jour, l’homme qui m’héberge me dit lors du repas qu’il commence à ce faire vieux, et qu’il a du mal à voyager. Il allait souvent à Alexandrie vendre des objets qu’il fabriquait. Des bijoux en or d’une qualité extraordinaire. Même les meilleurs orfèvres d’Europe avaient du mal à égaler sa qualité, c’étais sa source de revenu principal, ce que je faisais servait d’un petit plus, qu’il utilisait pour me nourrir. C’étais peut être lui qui a façonné mon pendentif… Ce fut un changement totale d’activité, fini le travail dans l’atelier, au calme à refaire les même gestes. J’avais obtenu sa confiance, que jamais je n’aurais trahie. Il m’avait sauvé d’une mort certaine, enfin, disons d’une vie misérable de vagabondage. Je partais, trois ou quatre voyages dans l’année en l’aval du Nil. Bien sur c’étais dangereux, a la sorti du village, quelques voleurs, mais ils n’ont jamais su ce que je transporté. Ma peau était blanche, je parlais anglais et arabe parfaitement, Stilgard était a mes cotés. Les bijoux du vieux partaient facilement Soit a des riches marchands originaires du coin, soit à des touristes fortunés. S’ils avaient des enfants. Stilgard prenais une forme attendrissante, elle m’aidait comme elle peut. C’était facile, je découvrais que le commerce était fait pour moi. Un monde de manipulation et de mensonge. Bien que je ne mentais pas souvent, mes objets étant d’excellente qualité, aucune nécessité de mentir. Au retour, je donnais une partie de l’argent, le reste resté dans la poche. Il le savait très bien, je ne lui ai jamais mentis. Si la vente me rapporte plus d’argent, le surplus était pour moi. Ca me rapporter pas mal ce petit commerce, les sommes étaient mille fois plus grande qu’avec le marché. De temps en temps, pour occupé mes temps libres, je servais de guide au voyageur et touriste. Leurs sourires bêtes, la nourriture qui arrive toute mâchée dans leurs gueules. Ils me répugnent, tout autant qu’ils sont. Mais bon, mes économies augmentent, donc je fais le parfait guide touristique, je parle leurs langues. Ils voyaient le coin, mais jamais ils ne verraient certains lieux, leurs yeux ne seraient apprécier leurs beautés. A vrai dire, ils m’apprécient vraiment, ils me donnent souvent plus. Puis ils rentrent chez eux et reprennent leurs petites vies…

Cela, je l’ai fait aussi quelques années, jusqu'à ce jour où je l’ai rencontré. Qui ? Une fille, une touriste elle aussi, mais son regard sur le monde était différent. Chacun de ses regards était avide connaitre le monde, de le comprendre. Je devais avoir 16 ans, les préparations pour un voyage qui allait débuter était a leurs combles, tout le village me voyait partout, je prévenais tout le monde, et ranger avec un soin infini la précieuse cargaison, dans un faux fond du sac, qui était renforcé par du cuir. Ce sac jamais il ne me quitté. Un moment je vis une grande voile blanche, des touristes surement, c’étais bien des touristes. Tout était prêt quelques jours avant le départ, j’avais le temps de me reposer, mais je suis allé voir au port le voilier. Premier regard, une fille magnifique les cheveux couleur or au vent sur le voilier. Avec un furet plein de malice sur l’épaule. Elle avait les yeux bleus comme le ciel, brillant comme le Nil, et cette lueur que n’ont pas les touristes… Stilgard était aussi sur mon épaule, étrange non ? Quelque chose m’a poussé à aller la voir, lui parler. Olympe, elle s’appelait Olympe, comme une déesse, la même grâce. Je lui ai dit que j’étais un guide local, que je pouvais leurs faire visiter, un reflex je dois avouer. Je ne voulais pas vraiment être un guide, mais comprendre se que je ressentais. Ce qui m’avait poussé. Ils ont acceptés, on avait a peut prêt le même âge, je devais avoir un peu plus qu’elle. Au lieu de rester avec ses parents, de ne pas prêter attention a moi comme les autres, elle me posait des questions, moi qui était si détendu je me sentais déstabilisé, c’est pourquoi je répondais par d’autre questions, j’étais distant et évasif… Je montrais quelques endroits, mais ce n’était que des coins a touristes, ni extraordinaire, ni moche, des coins comme il y en a des milliers ici. Après la ballade, je suis resté avec elle, j’étais bien. On discutait de tout et de rien, de mon métier de guide, des ses voyages dans le monde, sans abordé les choses importantes. Le premier jour, on est juste resté dans le village, avant que je retourne à l’atelier et elle au voilier. Le deuxième jour était pareil, on s’amusait avec nos deux furets, j’avais demandé a Stilgard de ne pas changer, je savais que les autres n’étais pas pareil, qu’ils ne comprenaient pas, gâcher ce moment magique pour ca, je ne le voulais pas. Les deux bêtes s’amusé comme des fous, ils couraient partout, chasser et ce mordillaient, c’étais si amusant à voir. Une magnifique journée à vrai dire, j’oubliais presque le départ qui approchait à grand pas. Le soir, je ne sais pas ce qui m’a pris, je lui ai demandé si elle voulait me suivre, je voulais l’emmener a un endroit que je ne montre pas habituellement… Nous sommes monté sur la colline, sur un rocher, on voyait le village en contrebas, le Nil parcourant tranquillement la plaine, quelques arbres aux loin. Des oiseaux régnant dans le ciel, des fois on pouvait voir des éléphants ou des girafes, mais ce soir là je n’ai presque pas regardé le paysage. J’étais captivé, pour elle, ses yeux dans lesquels je me noyais. Plus le temps passé, plus je voulais être avec elle, ne plus la quitter. Les jours suivant furent pareil, la journée on s’amusait tous les deux, avec nos animaux, le soir je lui montrais certain endroit magnifique, et nous parlions longtemps. Je m’attachais a elle, la première fois depuis si longtemps, dix ans pour être précis…
(L'histoire n'est pas fini bien entendu, donc risque d'avoir des changements )


DON :

Crayon d’or. Magnifique nom n’est ce pas pour un don tout aussi magnifique. Le dessin, certain grands artistes arrivent à donner une impression de vie dans leurs œuvres, moi je suis capable de donne la vie grâce a mon crayon. Si je devais donner un mot sur le dessin, je dirais, liberté. Liberté de création, liberté de notre pensé lorsque l’on dessine… Ce don, je l’ai découvert il y a six ans, cela faisait deux ans que je m’étais enfuit, bien que le travail était dur, je m’amusais à découvrir les lieux, je marchais dans la région, a tel point que je suis devenu celui qui connait le mieux la région. Ses lieux magiques, les plus beaux coins d’où l’on pouvait avoir une vu d’ensemble grâce a la hauteur, je les connaissais tous. Un jour, en haut d’une colline, je m’étais assis sur un rocher. J’entrepris de dessiner le magnifique paysage, laissant Stilgard s’amusé a chassé les insectes et petits mulots au alentour. A la fin, je vis un magnifique oiseau noir surplombant le ciel, comme le roi du lieu. Une aile, puis l’autre, le corps puis enfin sa tête tout y était. Le paysage était fini, c’étais un dessin magnifique, j’étais très fier de moi, j’avais bien du passé trois heure et le crépuscule avait prit place. Le ciel s’était enflammé et la température avait quelque peu baissé, il était temps de rentré. Avant de me relevé, un rapide coup d’œil a mon œuvre, puis je fus parcouru de frissons, j’avais l’impression de perdre mes forces, j’avais froid… Puis, une lueur dans l’œil de mon corbeau, deux trois battement d’ailes et il sortit du dessin, s’envola dans le ciel pour reprendre son royaume. Je ne comprenais pas ce qui ce passait, j’avais un peu peur, mais comme toujours je pouvais en parler uniquement avec Stilgard, qui ne comprenais pas plus que moi. L’oiseau revint alors vers moi, ce posa sur ma jambe et disparu aussi vite qu’il fut venu. Laissant le paysage du dessin avec un trône libre… C’est comme ca que ce passa ma premier expérience avec ce don, le temps passa et je ne le contrôlais pas énormément mieux, ca m’arrivait de plus en plus souvent, et même j’arrivais à faire sortir un objet que je voulais. Mais j’avais toujours du mal, jusqu'à mon arriver a Lindwuën University…