— Myron C. Wilson - 100%

NOM : Carter.
PRÉNOM : Myron Clement.
ÂGE : Dix-neuf ans. Il approche de la vingtaine.
SEXE : Homme.
NATIONALITÉ : Anglais.

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TRAITS DE CARACTÈRE : Un jour il serait doux, gentille et aimant, alors qu’un autre il serra arrogant, froid et méchant. Mais que voulez-vous, quand quelqu’un voit les morts, quand quelqu’un est condamné à faire tout son possible pour ne pas laisser ces esprits s’enlever, alors il n’y a pas de caractère qui corresponde vraiment à cette personne. Disons qu’il est assez lunatique, même si ce n’est pas vraiment lui. Un sombre sentiment de froideur se dégage de lui. Il est vrai qu’avec la plupart des gens, il est assez arrogant et trublion. Rusé et espiègle, il n’a pas froid aux yeux, n’a pas perd de foncer tête baisser pour défendre quelqu’un qui lui tien à cœur, même si ces personnes sont rares ou mortes. Ce n’est pas un tueur, juste un manipulateur qui n’a pas peur de blesser le monde qui l’entoure. Enfaite, il n’a pas peur des autres. Assez provocateur, il est tenace et menteur. Qui connaît vraiment la vérité sur lui ? Surement personnes. Même lui ne sait pas exactement qui il est. Assez surprenant pour un homme comme lui, il a un tel calme, un tel sang-froid. Myron sait se contrôler, il sait péter son câble ou non. Il arrive vraiment à contenir sa rage, sa joie ou encore sa tristesse. Les sentiments qui doivent orner son visage sont toujours absents. Ses trais sont neutre, sa voix est mélodieuse mais mystérieuse. Car oui, ce jeune homme est d’un mystère incertain. Pourquoi t’en de rage dans son regard ? Pourquoi t’en de haine et de distance avec les autres ? Darshan et Myron se ressemblent beaucoup. Ils sont complémentaire tous les deux. Darshan est un peu la fille de ses rêves et Myron est le vautour des rêves du charognard.

DESCRIPTION PHYSIQUE : Ni laid, ni beau, le jeune homme est tout simplement ce qu’il est. On ne peut pas dire qu’il soit moche, mais le qualifier de « bombe sexuel » serait bien trop grand. Disons simplement qu’il est lui. Myron se trouve bien. Il n’est pas gros, assez grand pour un homme et à surtout une gueule d’ange. Ses cheveux bruns, qui varis entre le noir ou encore le châtain foncé quand il y a de la lumière ou non, sont souvent coiffés en bataille. Il ne perd jamais son temps à se coiffer, une perde de temps pour lui. Une simple main dans les chevaux toute les heures et le voila coiffé. Ses trais de visage et son regard ne sont pas bien joyeux, mais cela ne veut pas dire qu’il n’est pas heureux. De couleur noir, ses yeux ne ressortent pas bien avec sa couleur de cheveux. Certes, c’est une couleur très commune, mais Myron ne cherche pas à être unique. Ce qu’il aime le plus chez lui ? Ses mains. Que ferait-il sans ses mains ? Pas grand-chose. Ce qu’il aime le moins ? …Les poils. Il a horreur de ça et ses pourquoi il fait très attention avec eux. Ce n’est pas parce qu’il s’enlève les poils que cela fait de lui un gays. Non, il fait juste attention à ne pas ressembler à un ours brun.

STYLE VESTIMENTAIRE : Question vêtement, c’est pas bien compliqué. Un jean, une chemise, un manteau et le tour est jouer. Pour les temps trop froid pour monsieur, il met un jogging, un bon sweat et le voici à glander dans sa chambre. Bien sur, il sait s’habiller pour la grande occasion. Il fait un minimum attention. Il est discret et son physique est tout aussi discret. Des couleurs discrètes, souvent entre le noir, le gris ou encore le blanc. Pour les jeans, c’est surtout des bleus délavés ou des bleus foncés. Rien de bien étrange n’est-ce pas ? Myron ne veut pas attirer tous les regards, c’est pourquoi il s’habille avec des vêtements discrets. En hiver, il s’emmitoufle dans un long manteau noir et une écharpe en soie blanche ou tout autre couleur qui va avec. Pour les chaussures, des converses ou des baskets qui ne font pas très sport. Il a toujours un collier autour de coup. Une chaine en argent avec un pendentif en forme d’oiseau ou d’ange recroquevillé sur lui-même. Il est assez étrange comme bijoux, tout le monde y voit se dont il a envie de voir.

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GOÛTS CULINAIRES : Il mange de tout ou alors pas du tout. Si ça ne tenait qu’à lui, il ne mangerait que de la viande rouge saignante. Mais sont corps a aussi besoins d’être chose. Fan de fruit, il se promène souvent avec une pomme, une poire ou un autre fruit dans les mains. Il adore ça, c’est comme un enfant avec les chocolats.
GOÛTS LITTÉRAIRES : Il aime les romans dramatiques. Enfaite, il aime les livres qui finissent mal. Quand le héro meurt ou que son fidèle compagnon se fait tuer. C’est vrai quoi ?! Pourquoi les héros survivent toujours alors que la mort n’est que la continuité de la vie ? Et puis, Myron aimerait bien être en possession d’un héro dans son tableau de face des morts…
GOÛTS MUSICAUX : Il aime la musique douce, murmurante de doux passage triste ou non. Enfaite, il adore le piano. Il a joué pendant un long moment, un très long moment, mais à abandonner son amour que cet instrument pour se concentrer un peu plus sur son don. Mais il écoute toujours du piano et sans lasse jamais.

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LOISIRS : Avoir la tête dans les étoiles. Être seul, assit dans une douce herbe humide, voir Darshan voler dans les airs et ne penser à rien.
PHOBIES : Le feu. La chaleur que leurs flammes procurent, leur beauté violente et leurs murmurent de froideur.
PROJET(S) ? : Compléter son tableau de chasse des esprits.

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CÉLÉBRITÉ CHOISIE : Kevin Flamme

NOM : Darshan
SURNOM : Darshan suffit, n’est-ce pas…
ÂGE : L’âge de son homme, mais d'apparence, seulement huit ans.
SEXE : Son caractère est celui d’un male, mais elle est une femelle.

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ESPÈCE ( ET/OU RACE ) : Vautour fauve

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TRAITS DE CARACTÈRE : Froide – Arrogante – Espiègle – Têtu – Cœur de pierre – Attaquante – Noble – Infidèle – Charognard – Menteuse – Joueuse – N’a pas froid aux yeux – Ne se laisse pas marcher sur les pattes – Trublion – Tenace - Garçon manqué – Lunatique – sang-froid – Calme – Rusé.

DESCRIPTION PHYSIQUE : Un long cou fin dénudé pour fouiller dans les carcasses, un corps et des ails recouvèrent de plumes marrons vaguement grisées et un long bec gris, Darshan est un fière vautour fauve de sept kilos cinq. Son envergure mesure dans les environs de deux mètres vingt-cinq, ce qui est plutôt petit pour un tel vautour. Son regard noir de glace, un vol planeur et une démarche lourde et massif, il est vrai qu’elle est assez impressionnante quand on la voit pour la première fois. Elle a de lourdes pattes puissantes qui peuvent briser un os en quelques secondes. Ses longues griffes sont assez mortelles quand elles les utilisent avec force. Ne lui tournez jamais le dos, elle pourrais vous jouez un mauvais tour…

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GOÛTS : La viande fraiche. Une viande qui vient d’être abattus, tendre et qui pu la peur. Elle aime faire peur et être impressionnante. Le monde qui l’entoure ne lui faire guère peur et être contre quelqu’un de plus grande qu’elle non plus. Qu’on lui caresse sous le bec la fait frémir de plaisir, mais seul Myron le sait et le fait. Voler, planer et ne plus toucher terre. Le vent froid des hautes montagnes.

PHOBIES : Comme tout bon daemon et respectueux de son homme, elle ne veut pas le quitter, toujours être près de lui. Mais ça plus grande phobie c’est le feu. Ce truc, sa s’allume sans bruit, sa te brûle, se nourrit de toi, avant de s’éteindre avec silence, comme ci de rien n’était. Et Darshan rêve d’une mort plus noble.

PASSÉ : « Je suis né par un froid hivernal. Une journée comme les autres pour certaines personnes, mais pas pour mes parents. Leur tendre et doux enfant venait de naitre, mais savait-il vraiment qui j’étais déjà ? Non. Ils ne pouvaient rien savoir de leur doux et tendre petit bébé… » Sa voix raisonnait avec rancœur et dégout, il cracha par terre avant de reprendre « Seul Darshan savait qui j’étais. Ma mère, cette pauvre sotte, n’était âgée que de dix-neuf ans quand elle m’a eut. Cette idiote était tombée amoureuse d’un drogué, d’un salopard. Cet homme que je le dû nommer père à contre cœur. Imaginez-vous vivre avec un amant bourré tous les soirs et un fils qui est aussi froid que le marbre. Elle se suicida pour le jour de mes dix ans, quel beau cadeau hein ?! Bizarrement, cela me faisais ni chaud ni froid. Mon père, quant à lui, ne trouva rien de mieux que de se mettre à me battre. Darshan, de son coin sombre, ne pouvait rien faire. Elle ne pouvait se montrer aux autres. Elle ne pouvait me défendre, alors tous deux, on souffrait en silence. A ce moment là, ma vie changea. Il y eut cette fille qui arriva près de moi. Elle me murmurait des choses, des choses que j’aimais entendre. Son corps brillait de milles feux, jusqu’au jour où je posai mon regard noir dans ses yeux bleus et lui ordonna de rester près de moi. Elle me suppliait de la laisser partir, de la laisser rejoindre l’autre monde, mais j’avais trop besoins d’elle. Je me servis donc d’elle comme un pantin, une arme secrète dont j’étais le seul capable de voir. Pandore était le surnom que je lui avais donné. Etait-ce son prénom ? Elle me criait qu’elle se nommait Delilah, mais je ne la crus pas. Grace à elle, mon salopard de père paya toutes mes cicatrices. Grace à elle, Darshan a pu se nourrir de la peur et de la chair de cet homme qui avait le même sang que moi. A mes quinze ans j’abandonnai Pandore, je n’avais plus besoins d’elle. J’avais besoins de quelqu’un d’autre, de quelque chose d’autre. Personne n’haussait venir vers moi et mes habilles déchirés. Je faisais vraiment pitié à voir et le froid m’avait rendu plus pâle que jamais. J’étais pitoyable. Victime de mon propre sort. J’appris à me connaître, à me contrôler et de là, je pus avoir tout ce dont je voulais. Ils étaient mes esclaves et j’étais leur maitre. Jamais plus de deux, sinon je pouvais y laisser ma peau. Ils se plaignaient toujours, je ne pouvais les faire taire, mais j’aimais entendre leurs plaintes. Pauvres petits esprits perdus dans un monde qui n’était pas le leur. »

Un froid sourire se traça sur ses lèvres. Voyant celui-ci, l’homme assit en face de Myron fut heureux de voir le jeune homme attacher. Se raclant la gorge, le psychiatre fronça les sourcils avant d’écrire des choses. Il était un peu perdu. Le jeune homme, monsieur Carter, était vraiment un patient bizarre et spécial. Sentant le regard viré sur lui, le médecin frémissait.

« Vous dites être le maitre de ces esclaves, mais qui était ces esclaves ? » Sa voix tremblait, ce qui fit sourire de plus belle le jeune homme attaché.
« Etait ? Pourquoi ne seraient-ils plus parmi nous ? Qui vous dit qu’ils ne sont pas là, à rires de vous ? »
« Parce que vous avez dit que… »
« Et vous croyez tout ce que je vous dits... » Coupa Myron « J’aurais pu vous dire que j’étais le chef d’un groupe terroriste vous m‘’aurez crut ? »
« Oui ! »
« Alors monsieur, laissez-moi vous dire une chose : vous êtes aussi sots que ma pauvre et défunte mère ! »

Montrant toute ses dents, Myron tourna un instant la tête. Il regarda avec dégout les gardiens en blousse blanche qui gardaient la porte comme-ci il y avait quelque chose dans dangereux à l’intérieur. Cette chose dangereuse était-ce lui ? Il sentit Darshan rire à cette idée. Lui, une chose dangereuse, on aura tout vu dans cet hôpital pour fou. La voix du psy le tira de ses pensées.

« Vous parliez d’une certaine Dark… »
« Darshan ! » Répondit froidement le jeune homme.
« Oui, Darshan…qui est-elle ? »

Fronçant doucement les sourcils, Myron grogna dans sa barbe. Si Darshan venait à être vu, ils seraient tous les deux abattus sur le champ, mais en même temps…

« Vous voulez voir Darshan ? »
« Parce qu’elle est avec…nous ? »
« Elle est partout… »

Venu de nulle part, comme un démon venant tout droit des enfers, un grand vautour apparut juste devant le médecin. L’oiseau se posa sur les genoux du psy. Un cri aigu et strict sortit du bec du charognard et surpris, le médecin tomba de sa chaise. Rigolant, Myron, entourer depuis le début par deux morts, leur ordonna de le détacher et de le faire sortir d’ici. Il ne se répéta pas et en une petite heure, le jeune homme était dehors, dans les rues.

Aujourd’hui, Myron arrive ici. Il ne sait pas ce qu’il vient faire là, ni pourquoi on lui a demandé de venir, mais il est là. Cela ne vous fait-il pas plaisir ? Peu importe. Il s’en contre fou. Darshan l’oblige à rester, elle dit qu’elle veut s’amuser un peu, qu’elle s’ennui d’être toujours en train de vagabonder. Beaucoup de gens le prennent pour un fou ou ne savent même pas qu’il existe. Tant mieux. Moins on lui parle, mieux il est…

DON : Il voit les morts, les condamne à rester près de lui. Il leur plante comme une flèche noire qui les retient dans le monde des vivants. Il manipule ses esprits à sa guise, à son envie. Ils sont sous ses ordres, sous ses envies. Mais attention, il peut faire cela qu’avec deux esprits en même temps, car cela le fatigue énormément. S’il venait à venir aller trop loin, Myron pourrait en mourir, y laisser sa vie et être, à son tour, emprisonné dans ce monde pour toujours.