Lindwüen Daëmon
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  PortailPortail  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  Dernières imagesDernières images  ConnexionConnexion  
-45%
Le deal à ne pas rater :
PC Portable LG Gram 17″ Intel Evo Core i7 32 Go /1 To
1099.99 € 1999.99 €
Voir le deal

 

 Robin Warroll & La chose ~

Aller en bas 
+2
Calipso V. Wilson
Robin Warroll
6 participants
AuteurMessage
Robin Warroll

Robin Warroll


Féminin Messages : 333
Date d'inscription : 06/06/2010
Age : 32
Localisation : Dans mon canap' ?

Feuille de personnage
Age de l'humain : 18 ans
Pouvoir : Télékinésie
Relations :

Robin Warroll & La chose ~ Empty
MessageSujet: Robin Warroll & La chose ~   Robin Warroll & La chose ~ EmptyLun 7 Juin - 15:29


Votre Humain.


      Robin Warroll & La chose ~ 1275963845 Robin Warroll & La chose ~ 1275963875


    NOM : Warroll

    PRÉNOM : Robin

    ÂGE : 18 ans.

    SEXE : Féminin.

    NATIONALITÉ : Anglaise.

    -------------------------------------------------------------------------------------------------------

    TRAITS DE CARACTÈRE : Energique, sociale, insouciante, farceuse, gourmande, légèrement têtue, un peu sensib…

    Je rayai violemment ces mots sans aucun sens, incapable de me décider sur ce qui me définissait le mieux. A quoi bon ? Une personne entière ne pouvait pas décemment se résumer à un mot. Et qu’est-ce qui me prenait à être sérieuse brusquement ? Sûrement mon petit côté sentimentaliste qui prenait le dessus sans crier gare. Malgré dix-huit ans à essayer de refouler mon émotivité, quand la fatigue m’envahissait, mes pensées viraient plus facilement au noir.

    J’avais en effet passé la journée à fureter, à blaguer, à jouer des tours, aidée de mon cher compagnon. Oui enfin « compagnon »… boule de poil puante plutôt. Aie ! C’est qu’elle mord cette vieille chaussette ! Je le chopai vivement par la queue et l’envoyai valser à travers la pièce, pour qu’il atterrisse lentement, sûrement, sur le sol dégagé de son apesanteur. J’aimais bien le torturer un peu, mais pas au point de le tuer, quand même. La bestiole gesticula comme une folle jusqu’à ce que je la libère de mon emprise.
    « Rira bien qui rira le dernier, sale petite… » Rumina-t-il, énervé.
    Je partis alors d’un grand éclat de rire, plus amusée qu’effrayée par sa terrible menace. Je prenais ça à la rigolade, comme avec à peu près tout dans ce monde. La vie était un jeu, un jeu subtile que je n’avais pas l’ambition de gagner. Tout ce qui m’intéressait, c’était d’en profiter et d’en rire. Tout avait une fin, alors pourquoi se prendre la tête ?

    Peut-être que tu devrais te la prendre un peu plus, dit une petite voix dans mon esprit.

    Il n’avait pas tort, on me le reprochait souvent. Manque de sérieux, de discipline, trop de temps passé à s’amuser. Pourtant, rien de ce qu’on pouvait me dire ne me faisait changer d’avis. Je dévorais chaque instant à pleines dents (quand ce n’était pas un bout de gâteau), et ne laissais rien m’atteindre. Ou presque. Je regardai mon furet dans les yeux, un petit sourire aux lèvres, me demandant bien ce qu’il prévoyait comme douce vengeance pour le voyage aérien – et sans frais – que je lui avais offert. On était comme chien et chat mais tout n’était que tendresse, car il m’était semblable et me comprenait terriblement bien. Il me reprochait mon attitude mais la sienne n’était pas mieux, et sa petite taille le rendait plus espiègle encore. Quelle saleté…

    Ah, décidément, j’étais trop sentimentale ce soir. C’était un de ces moments un peu creux où je réalisais à quel point mon comportement était intimement lié à mes faiblesses. J’avais besoin d’être aimée, alors j’étais devenue quelqu’un de sympathique, joyeux. Qui aime voir un individu se lamenter du matin au soir ? J’avais peur de l’avenir et peu de confiance en ce monde alors rien ne m’importait réellement. Comment peut-on être déçu quand on ne s’était attendu à rien ?

    Bon, on arrête le mélo ?


    DESCRIPTION PHYSIQUE : Après un long soupir, je me levai et avançai vers la porte de ma chambre quand le miroir capta mon attention. Une fine silhouette, pas plus haute que trois pommes – oh, un mètre soixante-cinq quand même – se détacha sur le papier peint immaculé. Elle me regardait, la moue facétieuse, le regard pétillant. Bwarf, je me préoccupais peu de mon apparence. J’aimais bien soigner mes tenues, m’assurer que mes cheveux n’étaient pas crades, ça s’arrêtait là. Le maquillage : très peu pour moi. Je pensais pouvoir me permettre de me négliger, et pour autant rester potable. Fallait avouer que j’étais très peu féminine. Pour moi, cela faisait parti de la catégorie « prise de tête ».

    J’approchai lentement mon visage de la surface réfléchissante pour m’assurer que pas un bouton ne dépassait de ma peau blanche. Avec soulagement, je constatais que le temps de l’acné était passé, et que pas un intrus n’envahissait à nouveau mon épiderme. Enfin débarrassée. Bon, je n’avais pas été très touchée, mais ça suffisait pour me déplaire. J’étais certes pas très branchée gommage, mais je n’étais pas totalement réfractaire au miroir. Un nouveau petit sourire souleva mes pommettes saillantes, et éclaira ma figure marmoréenne.

    Mes yeux gris étincelèrent dans la pénombre, vifs, avertis, la prunelle baignée d’un grain de folie raisonné. Après avoir louché sur la mélanine de mes iris, je baissai le regard vers ma poitrine, moyenne, peu encombrante ; mon ventre, aussi plat que peut l’être celui de quelqu’un qui fait des abdos quotidiennement ; mes jambes, longues et puissantes ; mes pieds, relativement fins. Deux de mes orteils étaient reliés par une sorte de peau membranaire génétiquement improbable. Un petit raté en route, sans doute. Un dernier coup d’œil vers mon reflet, et interrompis cet instant d'égocentrisme.

    STYLE VESTIMENTAIRE : Je me dirigeai cette fois vers ma garde-robe. Là était le plus important. J’aimais me vêtir avec goût –avec le mien surtout – et n’hésitais pas à arranger les vêtements trop banals qu’offraient les magasins bon marché. Des petits coups de ciseau par-ci, un brin de couture par-là. Je n’étais pas particulièrement habile de mes dix doigts, mais à force j’arrivais à me débrouiller.

    En fouillant dans mon placard, je remarquai que j’avais beaucoup de jeans. Des larges, des bariolés, des noirs, de tout en fait. J’en avais une panoplie non négligeable, et qui laissait peu de place aux autres matières. Mais les formes, les couleurs, et les longueurs variaient abondamment. Quelques jupes et robes, mais souvent déchirées, ou raccommodées, dans un style plus décontracté que raffiné. Je possédais une belle collection de T-shirt, du super ample et informe, au petit débardeur moulant. Ils étaient aussi divers que nécessaires, et beaucoup d’entre eux étaient imprimés. Des gilets, quelques pulls complétaient mon attirail.
    Dans un tiroir bien particulier, grouillaient toute une batterie d’accessoires récoltés au fil des années. Des bretelles, des bracelets, des colliers, et j’en passe. Je saisis un vieux lacet, couvert d’encre et de blanc. On pouvait dire qu’il avait vécu, celui-là.
    Niveau chaussures, je me satisfaisais de trois paires indémodables et invincibles : des bottines, des baskets, et une paire de Doc’ en cuir increvable. Pas de prise de tête de ce côté-là.

    Bref, j’avais de quoi me vêtir de milles façons, toujours dans un style original, un minimum confortable, même si cela méritait un bon quart d’heure chaque matin, la tête dans le coltard, à baver appuyée sur la porte de l’armoire.


    -------------------------------------------------------------------------------------------------------

    GOÛTS CULINAIRES : Ah, la nourriture. Plus que réellement me nourrir, j’aime avoir quelque chose à grignoter. Des bons gâteaux bien caloriques, du chocolat, des biscuits, des gâteaux apéritifs, des fruits aussi. J’aime un peu de tout, tant qu’on me fait le plaisir de me préparer un repas. Parce que j’avoue qu’en cuisine… je suis une gourde. Mais quand il s’agit de manger, pas de problème. Je digère bien, et pour le reste, je me dépense assez pour ne rien garder. J’ai de l’énergie à revendre, et ça me permet de manger un peu à n’importe quelle heure.
    Mes pensées s’interrompirent quand le doux fumet d’une blanquette de veau à la française atteignit subitement mes narines… mon plat préféré ! /TIME OUT/

    GOÛTS LITTÉRAIRES : Le ventre bien rempli, les babines satisfaites, je me dirigeai lentement vers la bibliothèque. Je n’aimais pas spécialement lire en fait. Tous ces livres, et toute la magie qu’ils livraient, ne m’attiraient que très peu. Je préférais ne pas trop me tenter à rêver, et rester encrée dans cette réalité bien prosaïque. Ce que je lisais volontiers par contre, c’étaient les bandes dessinées. Légères, rafraichissantes, c’était un bon moyen de ne penser à rien.
    J’en saisis une au hasard, dans le rayon des BDs comiques, et m’affalai sur n’importe quel fauteuil, déjà le nez planté dans les illustrations caricaturales et fort peu réalistes.
    « Pense plus fort à ce que tu lis, je ne bénéficie que des images, là ! » Rouspéta une voix sortie du néant.
    « Depuis le temps que je te dis d’apprendre à lire ! » lui répondis-je en riant.
    Grognasse…

    GOÛTS MUSICAUX : La musique, pour moi, c’est un moyen de bouger avant tout. C’est ce qui donne un peu de rythme à la vie. J’aime bien en écouter quand je cours, ou bien quand je danse. Oh, je ne sais pas particulièrement danser, je remue plutôt qu’autre chose. C’est plus histoire de me marrer, de me dépenser, de profiter de l’instant. Alors du moment que la musique a du punch, ça me va. En général, c’est de la pop ou de l’électro, enfin peu importe l’appellation qu’on leur donne.
    Moi ça me donne mal à la tête ce truc.
    « Pardon » m'excusai-je en branchant mes écouteurs. Quel rabat-joie celui-là.

    -------------------------------------------------------------------------------------------------------

    LOISIRS : Bon quel est mon programme du jour ?
    √ Fureter
    √ Embêter quelqu’un
    √ Faire des farces
    √ Courir une heure le long de la plage
    √ Me confectionner un nouveau T-shirt à partir du petit débardeur rouge, et du gilet noir que j’ai acheté aux soldes.
    □ Acheter du saucisson pour l’autre tâche – si j’oublie j’ai le droit à une semaine de misère.
    □ Faire mes devoirs (ouais… facultatif).
    □ Développer les clichés datant d’une semaine…

    Je regardais cette dernière tâche encore non complétée. Un sourire de satisfaction s’étalait sur mon visage juvénile. Je m’étais acheté le tout dernier appareil en vente, dans la gamme professionnelle, et mes photos étaient du tonnerre. Je n’étais pas particulièrement une fille passionnée en général, mais prendre des photos me délirait beaucoup. Au départ, je prenais des preuves compromettantes après avoir joué des tours à des amis. Puis petit à petit, j’en prenais également lorsque je voyais une scène insolite, une étrangeté parmi d’autres. Tout ce qui me faisait marrer, j’aimais le capturer et le conserver pour toujours. Comme ça, j’avais toujours une occasion de rire sur moi. Le pied. Allez, je sors le matos, et je mitraille.

    PHOBIES : Moment d’angoisse. Je ne sais pas où je suis, où est le sol, où est le plafond. Il fait noir. Un sentiment d’insécurité s’insinue progressivement sous ma peau, je sens mon cœur accélérer et mes mains devenir moites. Mes cheveux se dressent sur l’échine et je sens ma salive s’évaporer. La panique me prend, je commence à perdre pied… -clic !-
    Un bond surprend mon cœur fragile et ma poitrine s’affaisse lentement. Mon souffle perd sa cadence heurtée et reprend un rythme normal. La lumière est à nouveau là, je vois, je sais, l’inconnu a disparu et les ténèbres se sont écartées de nouveau.
    Merci.
    Y’a pas de quoi, fillette.
    Alors toi…


    PROJET(S) ? :La feuille jaune arriva sur ma table, un air condescendant sur la surface. Je soupirais.
    Mais qu’est-ce que je vais bien pouvoir mettre là-dessus ?
    La photographie ?
    Mouais, c’est galère de percer dans le métier. Pas envie de me prendre la tête.
    Heu, tu sais Robin, y’a un moment où tu vas devoir faire autre chose que fureter.
    Oui, contrairement à TOI.



    -------------------------------------------------------------------------------------------------------

    CÉLÉBRITÉ CHOISIE : Kristen Bell.



Son Daemon.


      Robin Warroll & La chose ~ 1275963917 Robin Warroll & La chose ~ 1275963948


    NOM : Ralph.

    SURNOM : La chose, serpillère, vieille chaussette, boule de poil, et j’en passe. Je crois qu’il s’est donné le nom de « Ralph » tout seul parce que je ne l’ai jamais appelé comme ça.

    ÂGE : 1 ans à peu près, en apparence.

    SEXE : Masculin.

    -------------------------------------------------------------------------------------------------------

    ESPÈCE ( ET/OU RACE ) : Furet.

    -------------------------------------------------------------------------------------------------------

    TRAITS DE CARACTÈRE : Mais où était-il encore passé ?
    Je passais au peigne fin toute ma chambre, sans trouver cette misérable petite fouine.
    Furet ! Je suis un furet bon sang !
    Ah te voilà canaille !

    C’est qu’il savait se cacher ce chenapan. Une vraie petite anguille, qui se faufilait n’importe où, et passait inaperçu. Le pire, c’est qu’il se cachait souvent pour dormir, et donc ne faisait aucun bruit. Oui, parce qu’en plus d’être un voleur, c’était un flemmard. Et le pire, c’est qu’il se permettait de me faire la leçon. Il n’était pas plus sage que moi mais il aimait bien le faire croire. Passablement ridicule. Il était un peu grognon aussi, mais je savais qu’il râlait plus par jeu que par réelle exaspération.
    De quoi ? Tu rigoles, j’espère ? Tu me FATIGUES ! Et pour de vrai.
    Mais oui, mais oui.

    Derrière sa façade pseudo-sérieuse, il était en fait bien plus joueur que moi, plus curieux, et plus fourbe.
    Fourbe ? Qu’est-ce que j’ai fait pour mériter cet adjectif ?
    Tu me mords avec tes longues incisives pointues, sale rongeur écervelé !... Aie !

    Vous voyez ? Un vrai gosse ! En fin de compte, il pouvait se résumer à son nom scientifique « Mustela Putorius Furo », autrement dit « belette puante voleuse ».

    DESCRIPTION PHYSIQUE : En un mot, cet abominable mammifère adoré ressemblait à un vieux chiffon.
    « Je t’en prie ! »
    « Oh, depuis le temps, tu devrais être habitué à mes sarcasmes ! Laisse-moi finir, veux-tu ? »

    Il remua du poil, la mine outrée. Plus sérieusement, c’était une petite bête longue de 40cm tout étendu, au poil clair, légèrement tachetée sur le dos. Son petit museau rose remuait lorsqu’il sentait une odeur – il lui en fallait des efforts pour capter autre chose que son pestilentiel derrière – ce qui le rendait presque mignon. Court sur pattes, il se déplaçait quand même très vite, même s’il rampait plus qu’il ne courait réellement. Quand il était étendu comme une masse, étiré au maximum, il ne se réduisait plus qu’à un boudin poilu, et il était presque impossible de distinguer l’avant de l’arrière.
    Je vais supporter ça encore longtemps ?
    Courage,
    lui répondis-je en pouffant.
    Ses yeux étaient d’un noir profond, brillant, un peu moqueur peut-être. Et ses dents savaient mordre là où ça faisait mal. Mais bon, le plus embêtant, c’était son don de parole.

    -------------------------------------------------------------------------------------------------------

    GOÛTS : Ce petit carnivore était un friand de saucisson, mais il se nourrissait de toute la viande qui passait sous son nez. Un vrai glouton.
    Mais regardez-moi qui parle, là…
    C’était d’ailleurs étonnant qu’il ne fut pas en surpoids.
    Elle m’ignore en plus !
    J’avais déjà tenté de lui imposer un régime, mais il devenait violent. L’autre chose qu’il appréciait particulièrement, c’était de se glisser sous mes vêtements. Je n’avais pas encore déterminé s’il était frileux ou pervers.
    On n’est pas de la même espèce, très chère, je ne vois pas en quoi tu pourrais m’attirer. Grande duduche, va !
    Ce n’est pas moi qui suis grande, c’est toi qui es petit.

    Bref, j’avais parfois du mal à me concentrer avec cet animal qui s’infiltrait dans ma tête – et sous mon t-shirt – sans autorisation.
    Manquerait plus que ça.


    PHOBIES :
    S’il y avait bien une chose dont il avait peur, c’est qu’un jour, je le confonde vraiment avec un torchon et que je le jette à la poubelle. Ahaha, non sans rire, comme la plupart des animaux sensés, il avait peur du feu. Il adorait la chaleur, tant que son poil ne craignait rien. Ce froussard avait également peur du tonnerre.
    « On peut passer à autre chose ? »
    Il se glissait n’importe où il pouvait se cacher – si possible sous mon pull, contre ma poitrine – et tremblait jusqu’à ce que l’orage cesse de gronder. Le pire, c’est qu’il me communiquait son angoisse, et j’étais souvent bien trop tendue pour me moquer de lui.
    Allez, arrête ça.
    Oui chef.




Leur Histoire.

    PASSÉ : Je n’ai pas spécialement envie de me rappeler du passé. Pour moi, le présent est d’or, et le reste est aux archives. Dossier classé. Mais s’il le faut vraiment, passons sur le billard. Mon passé peut se résumer en quatre mots : le commencement, la chute, la relève, et la découverte. Maintenant, si vous voulez bien, commençons par le commencement…

    Le commencement

    Je suis née dans une famille moyenne, fille unique d’un couple de fonctionnaires britanniques, appartenant à la classe moyenne. Rien de plus banal. Et moi aussi, j’étais normale, si ce n’est qu’un étrange petit chaton me suivait depuis la naissance. Mes parents l’avaient découvert dans coin de mon berceau, roulé en boule. Bien qu’étonnés de sa présence, ils ont vite été charmés par la petite pelote de poils et ont décidé de l’adopter. Je ne me rappelle pas le nom qu’ils lui avaient donné. Peut-être Ralph ? Ca expliquerait bien des choses. Mes souvenirs sont bien évidemment lacunaires sur cette époque lointaine. Mais une chose m’avait frappé : à l’âge de quatre ans, le chat avait disparu. Mais étrangement, je n’avais pas été triste. Non, une créature l’avait immédiatement remplacé dans mon cœur : un lapin aussi doux qu’une peluche. Lui aussi, avait débarqué de nulle part, et se trouvait toujours collé à moi. Si je m’en émerveillais, mes parents en restaient légèrement interloqués. Mais attendris de me voir si heureuse, ils l’adoptèrent cette fois encore.

    Même quand je commençai à aller à l’école, mon petit animal me suivit partout, quitte à se blottir dans mon cartable ou sous mon pull. C’était un petit lapin après tout, il se faufilait n’importe où. J’aimais bien l’école, il y avait du monde, je passais mon temps à jouer et à me faire de nouveaux amis. Et puis ils étaient tous séduits par mon compagnon, que je leur montrais en cachette. Mais bientôt, il disparut à son tour. Attachée à ce lapin, j’en fus peinée, mais ce fut de courte durée. En effet, un petit rat avait fait son apparition dans une de mes poches. J’avais sursauté, surprise de sentir un être bouger dans ma veste, avant de le reconnaitre. Oui, cette fois, j’avais senti qu’il s’agissait du même animal, bien que son apparence s’était métamorphosée. Il remplaça donc le lapin dans ma vie, auprès de mes parents – qui avaient cessé de se poser des questions – et de mes amis, qui étaient davantage attirés par le rat, par ailleurs. Sa petite silhouette était bien pratique. Elle se glissait dans mes vêtements pendant les cours – où vagabondait en silence – et se perchait sur mon épaule le reste du temps. J’avais l’impression de ne jamais être seule, d’être toujours accompagnée par cette étrange âme fidèle.

    Quand, au comble de ma mère, mon ami prit la forme d’un petit suricate, j’avais alors 11 ans, et c’est à ce moment que se fit le lien. J’eus d’abord des maux de tête, puis des grésillements infernaux. Mon père m’emmena chez le médecin, qui me prescrit des quantités massives de paracétamol. Mais rien n’arrangea les spasmes, jusqu’à ce que le phénomène évolue de lui-même. J’entendis de faibles murmures, pendant plusieurs mois, dans mon esprit. J’étais terrifiée, ou juste agacée, je ne comprenais pas ce qu’il se passait. Mon suricate avait un comportement un peu étrange, aussi. Ressentait-il la même chose que moi ? Ce n’était qu’une hypothèse à l’époque. Et puis, le brouillard se dissipa, le volume augmenta, et alors, j’entendis sa voix.
    Nous apprîmes à communiquer, à nous connaitre. Notre rapport instinctif, physique, était passé à un autre stade. Encore à l’âge de croire aux fées, je m’étais simplement émerveillée de découvrir cette possibilité, sans me poser de question rationnelle évidente. Mais je ne maitrisais pas encore bien le concept. Il m’arrivait de vouloir parler à mes parents par la pensée, ou bien je répondais à une question muette, à la surprise d’une tierce personne.

    La dernière étape de cette évolution arriva lorsque mon frère d’âme prit la forme d’une belle pie noire et blanche. A force de jacasser, il se mit progressivement à former des mots cohérents. Il fut finalement, après de longs mois, capable de parler aussi aisément qu’il pensait. J’imaginais qu’il était devenu apte à parler à force de m’entendre. Ou bien était-ce naturel ? J’avais tenté d’en parler à mes parents, curieuse de savoir s’ils l’acceptaient, mais leur réaction m’en dit long. Ils étaient amusés, mais n’en croyaient pas un mot, et je ne tentai même pas de leur prouver le contraire. Peut-être que c’était bizarre après tout. Je décidais d’en faire mon secret et lui déconseillait de parler à quiconque. Il ne l’accepta pas très bien. Il était têtu, il aimait parler – surtout sous sa forme de pie – et aimait m’embêter par-dessus tout. Mais je lui rendais bien. Ainsi mon étrange animal et moi vaquions nonchalamment à notre petite existence, insouciants, joueurs, profitant de chaque moment.

    La chute

    J’avais douze ans, ma pie jacassait toujours avec entrain, et noël approchait. J’avais réussi à faire promettre à mes parents de m’acheter un beau vélo neuf. Le mien était rouillé, vieux, et bon à la casse. J’avais même usé assez de charme pour être sûre d’avoir le vélo Barbie, celui que mes amies avaient. C’était incroyablement futile, quand j’y pense, pourtant c’était devenu une attente inespérée, et je passais mes journées à y penser. De plus, noël était une fête qui recelait une magie particulière, et j’avais chaque année hâte de manger le gigot préparé maison. Déjà à l’époque, je mangeais le quart du plat sans me poser de question. Le soir du réveillon, j’étais donc excitée, impatiente, toute prête dans le salon, attendant que mes parents reviennent de leur course de dernière minute. Le gigot était déjà en train de boucaner dans le four, je pouvais en sentir l’odeur alléchante. J’attendis. Puis j’attendis encore. Je commençais à m’impatienter, non, à paniquer. L’oiseau perché sur mon épaule tentait de me rassurer intérieurement. Bercée par ses douces paroles, je finis par m’endormir involontairement.

    Brusquement, je fus réveillée par la sonnette d’entrée. Mon cœur bondit, ils étaient enfin là, j’allais leur faire regretter de m’avoir autant fait attendre. J’ouvris la porte à la volée, mais ce n’étaient pas eux. Deux hommes habillés de bleu marine, ruisselant de pluie, me regardaient d’un air grave. Je n’oublierai jamais la sensation de désespoir qui m’envahit à cet instant. Je ne me rappelle plus de la suite des évènements, ce qu’ils ont pu me dire, où j’ai pu aller. Mes souvenirs sont flous, comme l’était ma vue, embuée de larmes, comme l’était mon cœur, salement meurtrit.

    Mes souvenirs les plus clairs m’amènent dans une petite chambre colorée, qui me semblait étrangère alors. Une seule présence familière était toujours là, c’était toujours un oiseau, mais c’était un corbeau. Ses croassements graves, gutturaux, étaient profondément sinistres, tout comme l’était mon humeur. J’étais sans vie. Je me laissais aller, j’étais dans une bulle, et je ne répondais plus de rien. Je me souviens de cette période, mais elle me parait lointaine, distante, comme parée d’un voile nacré. J’étais renfermée sur moi-même et avait cessé de parler. Les seuls mots que je parvenais à formuler restaient bloqués dans mon esprit, et seul l’oiseau noir comme la mort pouvait les comprendre. Il s’était revêtu d’un parement de deuil, car il partageait ma douleur. Nous étions toujours connectés, même si nous avions cessé de jouer.

    Au bout de plusieurs mois, il fut un loup. Puis une chauve-souris sombrant dans l’obscurité. Le foyer dans lequel je me trouvais essayait de me réanimer sans y parvenir, et le peu d’enfants qui m’approchaient repartaient effrayés. Ils commencèrent même à me jouer des tours. J’étais devenue « l’étrange », « la fille bizarre », et quiconque m’embêtait devenait le héros d’un jour. Je ruminais en silence, agacée d’être ainsi traitée.

    La relève

    C’est à ce moment là que mes souvenirs prennent plus de constance. Avide de me venger de ces petits trouble-fêtes, je sortis un peu de ma torpeur pour préparer des mauvais coups. Je demandais à mon vampire ailé d’aller leur dérober des objets, ou bien de les effrayer. Moi-même je bougeais leurs affaires la nuit, leur faisant bientôt croire qu’un fantôme rôdait dans le foyer. Je crois que rien de mieux n’aurait pu me remettre sur pieds que ce genre d’aventures. Même si je restais effrayante aux yeux des autres, ceux-là me ramenaient lentement à la vie, bien qu’ils n’en fussent pas conscients.

    Mais un nouvel évènement vint bientôt perturber ma nouvelle existence quelque peu insolite. Un soir, alors que je me rendais en catimini dans la chambre d’un garçon arrogant qui m’avait tiré les cheveux, je me préparais à dérober son char d’assaut, un jouet en plastique qu’il ventait allègrement à qui voulait bien l’entendre. Je savais attaquer là où ça faisait mal. Malheureusement, le garçon était plus grand que moi, et il avait planqué son trésor au dessus de son armoire par sécurité. Je tentai alors vainement de l’atteindre, sur la pointe des pieds, puis sautillant. Ma chauve-souris était devenue un renard et m’était de peu d’utilité alors. D’autant plus qu’il logeait dans un petit abri à l’extérieur, depuis qu’une surveillante l’avait découvert et jeté dehors, terrorisée. Bref, je me désarticulais le coude sans pour autant réussir à toucher le char, mais ma volonté était forte et je restais crispée, décidée à obtenir ma petite vengeance. Ce fut alors le jouer qui vint à moi, volant seul dans les airs pour atterrir dans ma paume. Tout simplement. Interloquée, je restai figée sur place, quand un ronflement sonore m’alarma. Il fallait que je file.

    C’est ainsi que je fis la découverte d’une habilité à laquelle je ne m’attendais pas du tout. Nous en discutâmes longuement avec mon renard, mais aucune réponse ne venait à bout de nos longs débats. Je décidais donc de voir si je pouvais le refaire, et après plusieurs heures, je réussi à déplacer à nouveau un objet très faiblement. Ce fut pour moi un entrainement quotidien, à la fois épuisant et excitant. J’étais motivée pour maitriser le phénomène, jusqu’à pouvoir réitérer l’expérience du vol. Oh je n’étais pas particulièrement cleptomane, mais je sentais que cela pouvait devenir un jeu très amusant. Quand je fus à peu près confiante en mes capacités, j’utilisai alors subtilement ce pouvoir, sans que personne ne s’en rende compte. Et depuis que je possède ce don, jamais personne ne le découvrit, même si ce fut parfois de justesse. C’était une occasion pour moi de perturber les autres, de faire croire à la réalité d’une séance de spiritisme, ou bien de faire trébucher quelques méchants gamins.

    Et puis, après que mon animal redevint un chat, puis un rat, je m’aperçu à quel point ma situation avait changé. Je n’étais plus le petit monstre bouc-émissaire de mon foyer et de mon collège. Peu à peu, mon attitude avait changé, je m’étais ré-ouverte, même si cela avait commencé par de mauvaises actions. La vengeance devint un simple jeu, et je me pris à rigoler à nouveau. Certains pensionnaires étaient même devenus des amis avec qui je trainais tout le temps. Je remarquai d’ailleurs que mon rat n’aimait pas être touché par quelqu’un d’autre que moi. Certes, mon compagnon avait rarement été au contact d’autrui, mais je ne m’étais encore jamais posé la question. Il m’avait alors expliqué que la sensation était gênante et qu’il n’appréciait pas particulièrement qu’un autre humain le saisisse. J’en découvrais un peu plus à chaque épisode, sur lui, sur moi, sur nous. Nous formions une paire unique, du moins, je le croyais.

    Je finis le collège, gagnai le lycée, toujours pensionnaire de ce foyer pour enfants abandonnés. Mon âme-sœur avait finalement pris la forme de furet. C’est au lycée que nous nous stabilisâmes réellement. Entourés d’amis de longue date, prêts à jouer et à rire à n’importe quelle occasion. Notre philosophie de vie était devenue commune : partager du bon temps, jouer, profiter du temps qui nous était imparti. J’avais fini par devenir la fille la plus énergique et amicale du foyer, comme si la petit fille morne et solitaire avait disparu des mémoires. Elle était morte, enterrée, avec ses parents.

    La découverte

    S’il y avait bien une chose que nous partagions tous au foyer, c’était l’absence de courrier. Nous ne recevions pas de lettre, pas de carte de vœux, pas de carte postale, nous étions seuls. Et nous ne nous attendions à rien. Les seuls pensionnaires qui avaient la chance de recevoir du courrier étaient en fait les pauvres enfants dont la famille ne pouvait décemment pas les élever. Mais ils étaient vivants. C’était quoi le pire ?

    Mais voilà, une lettre finit par me parvenir, à moi, l’orpheline. Mon nom était bien inscrit dessus, elle était pour moi. Je n’avais absolument aucune idée de qui pouvait bien être l’expéditeur, et je m’empressai de l’ouvrir. Je la lus bien fort dans ma tête, pour en faire bénéficier chaque mot à mon vieux torchon de furet (je lui rappelais sans cesse que cette forme n’était pas à son avantage, mais il ne se métamorphosait plus). Je la parcourus d’une traite, puis la relus, encore et encore. Je n’en croyais tout simplement pas mes yeux. J’avais dix-huit ans, une vie déjà bien remplie, et voilà qu’on venait encore la bouleverser. Dans mon ventre, dans ma tête, se mélangeaient surprise, joie, et peut-être un peu de contrariété. Je n’étais pas si unique après tout. Mais cette contrariété première s’évapora assez vite pour laisser place à une curiosité immense.

    Bien que je fusse attristée de quitter de très bons amis, la moitié était déjà partie du foyer pour démarrer une nouvelle vie, et c’était à mon tour. Au fil des années, j’avais constitué de précieux albums photos, prise d’une passion grandissante pour les clichés insolites, et j’avais décidé de garder le contact avec mes meilleurs amis. Après des adieux interminables et des instants incroyablement mièvres, je partis définitivement du foyer, sur la route de la mystérieuse académie…



    DON : Télékinésie : peut soulever, déplacer des objets à volonté.




Et Vous ?

    PRÉNOM : Chu ~

    ÂGE : 18 ans.

    PUFF : ??

    DOUBLE-COMPTE ? : Nop.

    COMMENT AVEZ-VOUS TROUVÉ LE FORUM ? Via un top-site.

    POURQUOI VOUS ÊTES VOUS INCRIT(E) ? L’idée des daemons m’a beaucoup plus. Le contexte m’a tout de suite inspiré.

    CHOSES A AMÉLIORER ? : Peut-être dans le contexte, faire un sujet qui réunit toutes les caractéristiques des élèves, des daemons, et des autres groupes aussi. Ca serait pratique :p

    CODE DU RÈGLEMENT ET DU CONCEPT : Ok by Arya

    MOT DE LA FIN ? : Que l’aventure commence ! Vive l’écriture Smile


Dernière édition par Robin Warroll le Lun 7 Juin - 18:01, édité 2 fois
Revenir en haut Aller en bas
http://worldofaddiction.forumsactifs.net/
Calipso V. Wilson
Le silence est d'or..
Calipso V. Wilson


Messages : 863
Date d'inscription : 13/11/2009

Feuille de personnage
Age de l'humain : 18 ans
Pouvoir : Vitesse surhumaine
Relations :

Robin Warroll & La chose ~ Empty
MessageSujet: Re: Robin Warroll & La chose ~   Robin Warroll & La chose ~ EmptyLun 7 Juin - 17:00

    Bienvenue (:
Revenir en haut Aller en bas
Kalhan Xénia
    « Grande gueule traumatiseuse de
    nouveaux en chef »

Kalhan Xénia


Féminin Messages : 4011
Date d'inscription : 13/08/2009
Age : 32

Feuille de personnage
Age de l'humain : 19 ans
Pouvoir : Psychokinésie (Peut tout faire par l'esprit)
Relations :

Robin Warroll & La chose ~ Empty
MessageSujet: Re: Robin Warroll & La chose ~   Robin Warroll & La chose ~ EmptyLun 7 Juin - 17:10

Tiens tiens un télékinésiste ^^
Welcome !
Revenir en haut Aller en bas
Robin Warroll

Robin Warroll


Féminin Messages : 333
Date d'inscription : 06/06/2010
Age : 32
Localisation : Dans mon canap' ?

Feuille de personnage
Age de l'humain : 18 ans
Pouvoir : Télékinésie
Relations :

Robin Warroll & La chose ~ Empty
MessageSujet: Re: Robin Warroll & La chose ~   Robin Warroll & La chose ~ EmptyLun 7 Juin - 18:02

Merci !! Smile
Revenir en haut Aller en bas
http://worldofaddiction.forumsactifs.net/
Lou Zeringer

Lou Zeringer


Messages : 274
Date d'inscription : 05/06/2010

Feuille de personnage
Age de l'humain : 18 Piges'
Pouvoir : Contrôle et Apparition de la Glace.
Relations :

Robin Warroll & La chose ~ Empty
MessageSujet: Re: Robin Warroll & La chose ~   Robin Warroll & La chose ~ EmptyLun 7 Juin - 18:47

Hello ^^

J'aime la présentation *-*
Revenir en haut Aller en bas
Robin Warroll

Robin Warroll


Féminin Messages : 333
Date d'inscription : 06/06/2010
Age : 32
Localisation : Dans mon canap' ?

Feuille de personnage
Age de l'humain : 18 ans
Pouvoir : Télékinésie
Relations :

Robin Warroll & La chose ~ Empty
MessageSujet: Re: Robin Warroll & La chose ~   Robin Warroll & La chose ~ EmptyLun 7 Juin - 18:53

Hey ! Smile
Merci beaucoup ^^
Revenir en haut Aller en bas
http://worldofaddiction.forumsactifs.net/
Kalhan Xénia
    « Grande gueule traumatiseuse de
    nouveaux en chef »

Kalhan Xénia


Féminin Messages : 4011
Date d'inscription : 13/08/2009
Age : 32

Feuille de personnage
Age de l'humain : 19 ans
Pouvoir : Psychokinésie (Peut tout faire par l'esprit)
Relations :

Robin Warroll & La chose ~ Empty
MessageSujet: Re: Robin Warroll & La chose ~   Robin Warroll & La chose ~ EmptyLun 7 Juin - 20:23

OMG Invasion de blonde ! xD
Revenir en haut Aller en bas
Aaron Dwayne
    « ...ou comment être un Feu Follet sur pattes \o/ »

Aaron Dwayne


Féminin Messages : 4008
Date d'inscription : 07/08/2009
Age : 31
Localisation : Entre les lignes de son Histoire ♥

Feuille de personnage
Age de l'humain : 28 ans =P
Pouvoir : Déclenche des séismes.
Relations :

Robin Warroll & La chose ~ Empty
MessageSujet: Re: Robin Warroll & La chose ~   Robin Warroll & La chose ~ EmptyLun 7 Juin - 20:26

    Bienvenue à toi ! Contente de voir que nous avons répondu a toutes tes questions, j'aime beaucoup ta fiche ^^
    Le code est bon, et si tu as fini file te recenser dans les listes puis tu pourras jouer ;P

    t'en a marre d'être la seule ROUSSE Kalhan ? (a)
Revenir en haut Aller en bas
kiersten S. Jorgensen

kiersten S. Jorgensen


Messages : 102
Date d'inscription : 09/04/2010

Feuille de personnage
Age de l'humain : 24 ans
Pouvoir : Faire souffrir de l'intèrieur .
Relations :

Robin Warroll & La chose ~ Empty
MessageSujet: Re: Robin Warroll & La chose ~   Robin Warroll & La chose ~ EmptyLun 7 Juin - 20:27

    Bienvenue sur le forum ! ♥️
    OMG ... Un furet ! ô/
Revenir en haut Aller en bas
Robin Warroll

Robin Warroll


Féminin Messages : 333
Date d'inscription : 06/06/2010
Age : 32
Localisation : Dans mon canap' ?

Feuille de personnage
Age de l'humain : 18 ans
Pouvoir : Télékinésie
Relations :

Robin Warroll & La chose ~ Empty
MessageSujet: Re: Robin Warroll & La chose ~   Robin Warroll & La chose ~ EmptyLun 7 Juin - 20:29

Désolée x) Huhu
Pas l'habitude de faire des blondes (des filles, même), j'vais tenter de sortir du cliché :p

Merci !!! Ah cool je vais pouvoir me lancer :p

Huhu le furet à l'attaque ! Soyez prêt *_*
Revenir en haut Aller en bas
http://worldofaddiction.forumsactifs.net/
kiersten S. Jorgensen

kiersten S. Jorgensen


Messages : 102
Date d'inscription : 09/04/2010

Feuille de personnage
Age de l'humain : 24 ans
Pouvoir : Faire souffrir de l'intèrieur .
Relations :

Robin Warroll & La chose ~ Empty
MessageSujet: Re: Robin Warroll & La chose ~   Robin Warroll & La chose ~ EmptyLun 7 Juin - 20:33

    Même pas peur, j'en ai 6 à la maison . Cool
    *PAN*
Revenir en haut Aller en bas
Kalhan Xénia
    « Grande gueule traumatiseuse de
    nouveaux en chef »

Kalhan Xénia


Féminin Messages : 4011
Date d'inscription : 13/08/2009
Age : 32

Feuille de personnage
Age de l'humain : 19 ans
Pouvoir : Psychokinésie (Peut tout faire par l'esprit)
Relations :

Robin Warroll & La chose ~ Empty
MessageSujet: Re: Robin Warroll & La chose ~   Robin Warroll & La chose ~ EmptyLun 7 Juin - 20:38

Aaron Dwayne a écrit:
    t'en a marre d'être la seule ROUSSE Kalhan ? (a)
CHUI PAS ROUSSE !!!
Même si ya de super photo de briana en rousse
Essaie même pas de me teindre espèce de Brice de Nice refoulé. ta raie te va à ravir !
Revenir en haut Aller en bas
Robin Warroll

Robin Warroll


Féminin Messages : 333
Date d'inscription : 06/06/2010
Age : 32
Localisation : Dans mon canap' ?

Feuille de personnage
Age de l'humain : 18 ans
Pouvoir : Télékinésie
Relations :

Robin Warroll & La chose ~ Empty
MessageSujet: Re: Robin Warroll & La chose ~   Robin Warroll & La chose ~ EmptyLun 7 Juin - 20:40

Ah ouais 6, pas mal x)
uhuh.
Revenir en haut Aller en bas
http://worldofaddiction.forumsactifs.net/
Aaron Dwayne
    « ...ou comment être un Feu Follet sur pattes \o/ »

Aaron Dwayne


Féminin Messages : 4008
Date d'inscription : 07/08/2009
Age : 31
Localisation : Entre les lignes de son Histoire ♥

Feuille de personnage
Age de l'humain : 28 ans =P
Pouvoir : Déclenche des séismes.
Relations :

Robin Warroll & La chose ~ Empty
MessageSujet: Re: Robin Warroll & La chose ~   Robin Warroll & La chose ~ EmptyLun 7 Juin - 20:42

    Tu sais ce qu'elle te fais ma raie ? :DD Elle t'emmerde o/ ♥️
    Et en plus de ça elle a disparu, ma petite rousse chérie =3 ♥️
    Tu verras, on va tous les teindre en brunes =O !!
    Préparez vous blondes de tous les pays, votre futur est certain @__@

    * va se pendre *

    Bon jeu Robin ! mais où est passé Batman ?

    * continue le noeud ;__; *
Revenir en haut Aller en bas
Robin Warroll

Robin Warroll


Féminin Messages : 333
Date d'inscription : 06/06/2010
Age : 32
Localisation : Dans mon canap' ?

Feuille de personnage
Age de l'humain : 18 ans
Pouvoir : Télékinésie
Relations :

Robin Warroll & La chose ~ Empty
MessageSujet: Re: Robin Warroll & La chose ~   Robin Warroll & La chose ~ EmptyLun 7 Juin - 20:50

Batman? Bah c'était Ralph version chauve-souris ! Mais c'est devenu un furet, désolée :p
Revenir en haut Aller en bas
http://worldofaddiction.forumsactifs.net/
Contenu sponsorisé





Robin Warroll & La chose ~ Empty
MessageSujet: Re: Robin Warroll & La chose ~   Robin Warroll & La chose ~ Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Robin Warroll & La chose ~
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Fatigue quand tu nous tiens [ PV Robin ]
» Pense à quelque chose de désagréable... (Matthew c. Whister)
» L'amitié est une chose étrange, parfois même incompréhensible. ▬ pv. Kyllian Dahmer
» La vie devient une chose délicieuse, aussitôt qu'on décide de ne plus la prendre au sérieux.

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Lindwüen Daëmon :: « Administration » :: + PRÉSENTATIONS :: Présentations validées-
Sauter vers: